Rafik Smati, invité sur le plateau de Nicolas Doze sur BFM, a abordé le sujet de son optimisme souvent critiqué. Il a souligné sa pleine conscience de la situation économique actuelle, y compris l’énorme dette de la France, mais a affirmé résolument son choix de rester optimiste pour deux raisons principales :
Premièrement, en tant qu’entrepreneur, il estime ne pas avoir le droit de se montrer pessimiste. Il est essentiel pour lui de voir au-delà des défis immédiats afin d’imaginer et de bâtir l’avenir. L’optimisme, selon lui, n’est pas une croyance aveugle, mais une nécessité pour innover, prendre des risques calculés et persévérer malgré les incertitudes.
Deuxièmement, il a exprimé son enthousiasme face aux incroyables opportunités offertes par les forces de transformation émergentes, notamment l’intelligence artificielle et la révolution environnementale. Ces avancées ne sont pas simplement des progrès technologiques ou écologiques ; elles représentent des outils de changement fondamental, offrant l’opportunité de redéfinir notre monde. Pour lui, adopter une posture pessimiste face à ces transformations reviendrait à se placer en marge de l’histoire en train de s’écrire, renonçant à participer activement à la redéfinition de notre société et à l’exploration de nouvelles frontières de progrès et d’innovation.
Rafik Smati a conclu en réaffirmant son engagement à défendre l’idée que, malgré les crises actuelles et la tendance à valoriser les visions déclinistes, demain peut être meilleur qu’aujourd’hui.