Il y a 30 ans, la France a tardé à entrer dans la révolution internet, trop attachée à son Minitel. Il y a 10 ans, le patron d’Arianespace parlait avec mépris de SpaceX. Aujourd’hui, l’Europe préfère réguler l’IA plutôt que pousser l’innovation. Voilà ce qui se passe quand on préfère confier l’innovation à des technocrates plutôt qu’à des ingénieurs et des entrepreneurs. Réveillons-nous !
La France a besoin de plus d’ingénieurs, et de moins de technocrates !
2 commentaires :
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La critique vient toujours de ceux qui ne font rien ou qui risquent d’être dérangés dans leur train train quotidien.
Il faut enlever tous les freins à la création, à la prise de risque, à l’investissement. Stopper tous ces réglements plus fous les uns que les autres, laisser circuler l’argent. Mais comprendront-ils ??????? J’en doute…
La liberté académique dans les démocraties européennes et nord-américaines : identifier les menaces, proposer des solutions
Si la liberté académique universitaire est reconnue internationalement et universellement par l’UNESCO, son application diffère selon les États. Malgré ces différences, la liberté académique est consubstantielle à toute notion d’université conçue comme le lieu d’échange libre des idées au sein duquel s’acquière la liberté de pensée. Et si l’on admet que ce type d’université est indispensable dans tout État pour favoriser l’apprentissage, la promotion et la défense des libertés d’opinion et d’expression, alors la liberté académique est nécessaire à toute démocratie libérale. Le lien étroit entre liberté académique et démocratie explique que les universitaires soient parmi les premières personnes, au même titre que les journalistes, à être muselées dans les régimes démocratiques vacillants. Ces quelques constats justifient de consacrer un numéro d’Éthique publique à cette question.